Cinéma français -- 1950-1959

Le maire Peppone se retrouve dans une situation délicate : sauver sa petite commune d'une inondation proche en l'absence de Don Camillo. Très vite, il réalise que cette tâche sera insurmontable et est obligé de rappeler à la rescousse le sympathique curé. Mais, plus fier que jamais, il met en place une rencontre de boxe visant à ne pas passer pour un perdant et à déstabiliser Don Camillo.

Dans une institution destinée à l'éducation des jeunes garçons, Christina et Nicole, respectivement épouse et maîtresse du directeur Michel Delasalle, s'associent afin d'assassiner l'homme qu'ells ont fini par haïr. Mais quelques jours après leur méfait, le corps de Michel disparaît...

Sous l'Occupation, Martin, brave homme au chômage, doit convoyer à l'autre bout de Paris quatre valises pleines de porc. Son acolyte habituel ayant été arrêté, il fait appel à un inconnu, Grandgil. Mais celui-ci se révèle vite incontrôlable et le trajet périlleux. Au terme de leur périple, Martin découvrira que Grandgil est un peintre connu qui s'est offert le luxe d'une petite aventure. Ils finiront par se faire arrêter et Martin paiera seul le prix de cette traversée.

Dans la petite ville italienne de Brescello, le curé Don Camillo et le maire communiste Peppone ne cessent de se disputer mais, au final, parviennent toujours par se reconcilier.

Les élections approchent. Pour Peppone, qui rêve d'être député, c'est une période cruciale. Mais Don Camillo ne l'entend pas de cette oreille et va tout faire pour perturber les desseins de pouvoir du maire communiste. Leur rivalité devient alors plus féroce que jamais.

Un narrateur, le « meneur de jeu », présente une série d'histoires tournant autour de rencontres amoureuses ou « galantes ». La « ronde » passe de la prostituée au soldat, du soldat à la femme de chambre, de la femme de chambre au fils de famille, et ainsi de suite jusqu’à ce que le cercle soit bouclé…

Le brigadier Le Gouce et le soldat Flicot perdent leurs chevaux au cours d'une campagne en Italie. Afin d'éviter de paraître ridicules, les deux hussards traversent le pays à la recherche de leurs montures. Mais passant pour des déserteurs, leur régiment les prend en chasse...

Les vacances, tout le monde le sait, ne sont pas faites pour s'amuser. Tout le monde le sait, sauf Monsieur Hulot qui, pipe en l'air et silhouette en éventail, prend la vie comme elle vient, bouleversant scandaleusement au volant de sa vieille voiture Salmson pétaradante la quiétude estivale des vacanciers qui s'installent avec leurs habitudes de citadins dans cette petite station balnéaire de la côte atlantique. Il promène dans l'ennui balnéaire, le plaisir émerveillé des châteaux de sable. Et, d'un seul coup, l'ennui éclate de rire, tandis que les châteaux de sable s'ouvrent sur la belle au bois dormant et qu'aux cris des enfants, la petite plage pétarade et reluit comme un quatorze juillet... Mais voilà septembre. Monsieur Hulot, inconscient du scandale, rentre... Où rentre-t-il au fait ? Dans les nuages sans doute, dont il n'était, d'ailleurs, jamais sorti. Mais les enfants, après qu'il ait disparu, ont regardé le ciel longtemps.

Sénéchal est un comédien dont la carrière est au plus bas. Il ne participe qu'à des productions de petite envergure et s'embarque dans des tournées minables. Un jour, il se retrouve sur le bord de la route avec son costume de scène de capitaine de la légion. Un vrai colonel croise sa route et le prend alors pour un véritable soldat...

A Marseille, Honoré se dit être le descendant de Protis, fondateur de la cité phocéenne. Malgré ses origines, le marseillais ne peut se vanter d'être aussi ambitieux que son ancêtre et son quotidien est rythmé par la pétanque et les dégustations de bouillabaisse. Jusqu'au jour où il se lance dans l’organisation du concours de "Miss flots Bleus"...

Un tondeur de moutons décide de venir tenter sa chance dans la capitale afin de devenir un grand coiffeur pour dames. Le succès est très vite au rendez-vous mais la gloire l'empêche de garder les pieds sur terre... Cependant, il se rend vite compte que tout cela est très superficiel et décide de revoir ses priorités.