Descriptions et voyages

Mon plan, je le pense, était clair, concis, raisonnable. Durant des années, j'avais voyagé un peu partout dans le monde. En Amérique, je vis à New York, avec une immersion de temps à autre dans Chicago ou San Francisco. Mais New York n'est pas plus l'Amérique que Paris n'est la France, ou Londres l'Angleterre. Ainsi donc, je découvris ne pas connaître mon propre pays. Moi, écrivain américain, écrivant de l'Amérique, je travaillais de mémoire, et celle-ci n'est autre qu'un réservoir cabossé, déformé. Je n'avais pas entendu le langage de l'Amérique, humé l'odeur de son herbe, de ses arbres, de son fumier, vu ses collines et ses cours d'eau, ses couleurs et ses qualités de lumière. Je n'en connaissais les changements que par les livres et les journaux. Plus encore, je n'avais pas " senti " le pays depuis vingt-cinq ans. Bref, j'écrivais de quelque chose que j'ignorais et, à mes yeux, un écrivain de ce genre est un criminel. (extrait)

Panorama de sites naturels méconnus de Bretagne, des bords de Loire aux îles reculées et aux archipels du Finistère.

Récit du voyage de G. Auffenberg au Soudan durant l'été 1980. Habillée en homme, elle traverse seule le pays en train ou à cheval, nouant avec l'animal un lien particulier. Ce périple initiatique lui permet de scruter le coeur humain dans un voyage intérieur empreint de poésie.

Un ouvrage sur l’Australie est nécessairement un livre d’aventures, où se mêle une fantastique palette de paysages allant des déserts les plus secs aux jungles les plus vertes. C’est aussi un livre-découverte où l’on croise d’étranges et mythiques animaux comme les kangourous et les koalas et un peuple aux racines très anciennes : les Aborigènes. Tout en couleurs, il reproduit exactement les rouges sans fin de l’Outback ou du parc national d'Uluru-Kata Tjuta comme les bleus azurs de la mer et du ciel. En complément de cette nature opulente, vient s’ajouter la légèreté de la beach culture des surfeurs de la baie de Sidney qui nous fait tous rêver !