Morale -- Philosophie

Publié en 1841, ce texte constitue une introduction à la philosophie schopenhauérienne. Il présente une critique radicale de la métaphysique kantienne, affirme que la volonté de vivre l'emporte sur les impératifs nés de la raison et que la morale obéit d'abord à l'ordre des sentiments. Avec une chronologie. Electre 2015

Cet ouvrage propose une découverte philosophique de la jouissance, un terme qui a une longue histoire avant d'être associé à la sexualité.

A partir de thèmes qui font débat dans la société française (la conscience de classe, la procréation médicalement assistée, la transmission de la culture et les impasses de l'universalisme) cet essai sur le thème de l'identité explore la question en tentant de s'éloigner de la simple opposition entre détermination génétique et transmission culturelle.

Le philosophe s'efforce de montrer Dieu dans toutes ses dimensions, qu'elles soient éthique, religieuse, historique ou morale.

Cet essai vise à donner une consistance éthique au concept d'imagination, entre relativisme et dogmatisme. Littérature et histoire sont convoquées pour réfléchir aux remèdes à la crise actuelle des valeurs dans une approche contemporaine.

Comment penser le jugement moral ? Cette question fondatrice de la méta-éthique, branche de la philosophie morale étudiant les fondations métaphysiques de la morale, est au cœur de l'ouvrage " Actualité d'Aristote en morale ". Le jugement moral pose un défi à la réflexion philosophique parce qu'il semble posséder à la fois une force motivante et un contenu cognitif, deux caractéristiques jugées pourtant inconciliables. Les deux solutions classiques à cette difficulté consistent à rejeter l'une des deux caractéristiques afin de préserver l'autre. Cet essai ouvre une nouvelle perspective permettant de concilier les aspects motivant et cognitif du jugement moral et, par la même, de dépasser le dilemme entre autonomie et connaissance morale qu'imposent les solutions classiques.

La philosophie de M. Onfray établit un certain rapport aux philosophes, saisis dans leur vie. Cette ontologie défend l'idée qu'il appartient à chacun de construire son existence, d'en faire, selon le voeu de Nietzsche, une oeuvre d'art, selon une logique d'expansion des corps et des plaisirs, par laquelle une éthique peut se dire aussi esthétique. Prix Médicis de l'essai 1993.

Cet essai s'interroge sur la prise de parole au sein de la société, la capacité d'agir qu'elle permet ainsi que sur la place dans la démocratie de tous ceux, exclus en tous genres, qui se trouvent réduits au silence. Comment leur permettre de se faire entendre ? Que signifie parler à leur place ? Existe-t-il un droit au silence comme un droit à la parole ?

Etudiant tour à tour le comportement du ouistiti, la pensée de Socrate, l'histoire du Ghana ou encore de l'île de Pâques, l'auteur s'efforce de comprendre les raisons et l'origine de notre dérive morale. Le sens de la justice est-il inné ? La morale est-elle partout la même ? Est-il possible de faire évoluer l'homme vers plus de civisme et moins d'égoïsme ?

Les mouvements transhumanistes militent pour un humain augmenté, dernier exemple de l’utopie technique. Grâce aux progrès technologiques et scientifiques, il deviendrait plus fort, plus intelligent ou à longévité plus longue, mais se trouverait réduit à un ensemble de fonctions motrices ou cognitives et perdrait toute altérité.