Liberté -- Philosophie

6 grandes questions sur la liberté, pour initier les enfants au questionnement et ouvrir le dialogue avec les adultes.

S'appuyant sur Nietzsche ou des artistes du XXe siècle comme Rilke, Cézanne ou Allen Ginsberg, F. Midal, penseur du bouddhisme d'Occident, montre que tout homme peut librement dessiner son propre chemin en affrontant tous les champs de son existence : le travail et l'argent, le rapport à l'art et à l'amour, le sexe et le sens des rituels.

Max décide de fuir la ville où il étouffe. Il a l'impression que cette parenthèse lui permettra de décider librement de ce qu'il ne veut plus vivre. Il part dans la maison de son enfance. Mais le poids du passé n'est-il pas une entrave à sa liberté ? Sous quelles conditions la philosophie peut-elle lui accorder un droit à la liberté ?

Conseils de développement personnel, basés sur les principes philosophiques de liberté et de diversité. L'auteur met en avant l'individu intégré dans la collectivité humaine, avec laquelle il doit rester en interaction plutôt que se réaliser de façon égocentrique. ©Electre 2014

Deux textes de conférence. Le premier essai examine la question du libre arbitre. Dans le second texte, P. Guenancia oppose la philosophie de Paul Ricoeur, penseur formé en partie à l'école de la phénoménologie, avec les réflexions de René Descartes sur le libre arbitre.

Laurent Vidal fait la genèse des hommes lents, ces individus mis à l’écart par l’idéologie du Progrès. On y croise tour à tour un Indien paresseux et un colonisé indolent à l’époque des grandes découvertes, des ouvriers indisciplinés dans le XIXe siècle triomphant ; plus proches de nous, le migrant en attente ou le travailleur fainéant restent en marge de l’obsession contemporaine de l’efficacité. Mais l’auteur révèle avant tout la façon dont ces hommes s’emparent de la lenteur pour subvertir la modernité, à rebours de la cadence imposée par les horloges et les chronomètres : de l’oisiveté revendiquée aux ruses déployées pour s’approprier des espaces assignés. Mêlant la rigueur de l’historien à la sensibilité d’un écrivain qui puise aussi bien dans la littérature que dans les arts, cet essai ouvre des horizons inédits pour repenser notre rapport à la liberté.

Une réflexion autour du rapport qu'entretiennent l'individu et la société avec la mode. Outil d'intégration sociale autant que de singularisation, elle questionne notre attachement à l'apparence.